La position des planètes le 26 septembre 2012 à 14h GMT présente une figure géométrique assez rare : six planètes sur dix sont en dissonance entre elles. Le triangle Soleil/Uranus/Pluton d’une part, le triangle Lune/Vénus/Mars d’autre part (chacun formé de deux carrés reliés par une opposition), sont reliés entre eux par semi-carrés et sesqui-carrés.
Autrement dit, l’actuel (2011-2016) carré Uranus/Pluton, synchrone avec la crise planétaire à laquelle nous assistons, se trouve valorisé, rehaussé par quatre planètes à la fois ; nous voici donc devant un pic de la crise.
On peut s’attendre à un surcroît d’agitation, voire à une explosion de violences de part le monde et tout particulièrement dans les pays arabes (lesquels ont commencé leur révolution en 2011 au moment de la formation d’Uranus/Pluton).
Les autres planètes semblent tempérer ce climat explosif : le trigone Mercure/Jupiter, relié par trigone à la Lune, en signes d’air, évoque le dialogue et la recherche du consensus ; le trigone Saturne/Neptune en formation, également relié à la Lune, peut s’entendre comme la montée d’un courant collectif de solidarité.
Mais, ainsi que je l’ai déjà évoqué, nous nous trouvons face à deux courants extrémistes qui s’affrontent : l’extrême droite face à l’extrême gauche, ou encore l’écroulement des structures politico-économiques face à l’émergence d’une conscience planétaire.
Cette figure du 26 sera suivie par la Pleine Lune du 30, tout aussi mouvementée.
Gardons à l’esprit que c’est précisément (et exclusivement) dans ces moments de grande instabilité que le changement est possible – à condition de lui donner la bonne direction. Ce qui est une affaire de prise de conscience collective.